L’azote gazeux est devenu très présent au fil des années dans de nombreuses applications : inertage, pigeage, remontée, transfert, chasse à l’air, embouteillage… Véritable solution de protection du vin, l’inertage à l’azote est indispensable dans l’industrie vitivinicole
L’azote : Le gaz au service de l’industrie
L’azote, mélangé ou non avec du CO2, permet de répondre aux exigences de qualité de plus en plus élevées des auditeurs mais aussi des clients.
Utiliser de l’azote pour l’ensemble de ces applications nécessite un important volume de gaz et entraine ainsi une forte hausse du coût d’exploitation liée à l’achat de bouteilles, sans compter les besoins en logistique.
L’inertage à l’azote par Duffau Services
Chez Duffau Services, nous apportons notre solution d’inertage à l’azote pour l’ensemble des entreprises du secteurs vitivinicole.
Nous vous proposons également à l’industrie vitivinicole, la production d’azote sur site sans restriction quant au volumes nécessaires, quel que soit le type d’applications.
Pour tout renseignement concernant nos produits et solutions, n’hésitez pas à contacter notre équipe par téléphone, ou à remplir votre demande de devis en ligne.
L’azote : le gaz d’inertage du vin :
L’oxygène est le 2ème gaz le plus présent dans l’atmosphère, après l’azote. Mais, contrairement à ce dernier, l’oxygène est un gaz qui est susceptible d’interagir avec les composés du vin et d’en modifier les caractéristiques : couleur, aromes, tanins….
La solution est donc d’injecter l’azote, un gaz dit « neutre » afin de ne pas en modifier les propriétés et d’obtenir une conservation sans risque de contamination lors des phases de travail du raison (vendanges, soutirages, transfert, filtration tangentielles, pressurages).
L’azote porte donc un rôle de protection du vin face à l’oxygène qui va en modifier les composés.
Quels sont les différents types d’inertage ?
Inertage statique :
L’inertage statique à l’azote est une des solutions qui consiste à balayer le ciel de cuve chargé en oxygène par l’injection d’un gaz neutre afin de le rendre « inerte »
L’apport en azote est équivalent à 3 à 5 fois le volume à inerter. Ce type d’inertage nécessite des soupapes de sécurité afin de ne pas endommager les cuves et des détendeurs en amont.
- Inertage par balayages après remplissage :
Une technique peu consommatrice en azote, mais nécessitant un stockage important pour offrir de la réactivité
- Inertage par balayages avant remplissage :
Technique peu consommatrice en azote, mais nécessitant une phase d’anticipation
- Inertage en continu par légères surpressions :
Technique très consommatrice en azote
Inertages dynamiques :
- Transfert par poussée
- Inertage des circuits de transfert
